Canadiana Fest ou la réconciliation de PSPP et de GND

Dans cette chronique, tout comme le Kwebek Government Office in Chicago, AAB convie le peuple québécois à prendre part au Canadiana Fest de Kalamazoo.

Une fois de plus, le parti au couleur de Ronald McDonald et le Pédalo Amiral nous démontrent tout leur sérieux quant aux intérêts supérieurs du peuple québécois (lire indépendance) en embrassant la conspiration du silence, cette fois par rapport à la participation en grande pompe du Kwebek Government Office in Chicago au Canadiana Fest de Kalamazoo sous le règne merveilleux de notre plus que lamentable Démonstrateur de Produits Tupperware et de son équipe de singes.

Heureusement pour le peuple québécois, Arnaude-Archibalde, qui a un faible autant pour la Célébration de l’Insignifiance que pour les festivités qui repoussent la question du néolithique, c’est-à-dire, celle qui avant l’avènement de la Contention Chimique de Masse portait la dénomination de Sens Suprême de l’Humanité, s’est rendue sur place afin de faire le compte-rendu de l’événement grandiose qui a malheureusement manqué de visibilité.

Si l’événement historique n’a pas eu la couverture médiatique qu’il méritait, c’est avant tout parce que notre Démonstrateur de Produits Tupperware ne voulait pas que le conflit d’intérêts soit trop manifeste. En effet, voulant faire de Kalamazoo, capitale culturelle du MidWest, le centre de sa Zone Exclusive de Distribution de Produits Tupperware et l’étendre par la suite jusqu’à la WessCoasse, il ne fallait pas que le peuple québécois soit informé que ses impôts sont aussi bien dépensés lorsqu’il n’est pas question de remettre 10 milliards à Blackstone, 2,5 milliards à Energir, 1 milliard à McGill soit disant pour une cause grandiose (afin que la Rhodésie devienne LE chef de file mondial des reconstructions annales complètes), de changer le zonage agricole afin de subventionner les fermes de serveurs de Google et faire payer les tarifs d’électricité éolienne les plus élevés de toute l’Amérique du Nord à Baptiste, et j’en passe, et j’en passe… 

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